Seconde tome d’une trilogie, et faisant suite à The Grace of Kings, The Wall of Storms s’intéresse à la première décennie de règne de la dynastie du Dent-de-Lion. Le roman, supérieur au premier tome, est toujours un gros pavé bien écrit et très intéressant à lire.
Difficile sur un livre aussi gros de pouvoir le présenté dans son ensemble et sans déflorer des points de l’intrigue qui sont cachés aux lecteurs en début d’ouvrage. Le premier quart de Wall of Storms présente la génération suivante qui marquera de son empreinte Dara (principalement les trois enfants de l’Empereur, une fille et deux garçons, et une fille du peuple, particulièrement brillante et à qui le destin donnera un professeur prestigieux) et donne à voir les intrigues de cours et les tensions qui parcours l’Empire.
L’évènement marquant qui indiquera un tournant pour Dara, c’est l’arrivée, de par delà le mur des tempêtes qui isoles Dara du reste du monde, d’une flotte de barbares bien décidée, avec l’aide de dragon, à conquérir Dara. S’ensuit le début d’une guerre qui bouleversa l’équilibre des forces et divisera profondément l’Empire. La fin du roman ouvre, à ce niveau, d’ailleurs de nombreuses perspectives intéressantes.
The Wall of Storms donne clairement une nouvelle dimension à la trilogie et je l’ai trouvé bien supérieur au premier tome. S’il est possible de lui trouver quelques longueurs, les valeurs défendues (rôle des femmes, confrontation à l’étranger, importance de la science et du savoir, etc.) sont très intéressantes d’un roman de Fantasy Silkpunk. J’attends le troisième tome avec une grande curiosité.
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