Premier tome d’une trilogie de Fantasy basée sur les mythes et légendes orientaux.
The City of Brass débute au Caire, au dix-huitième siècle, et s’attache au pas de Nahri, une jeune femme, qui n’a pas connu ses parents, capable de détecter les maladies et de comprendre / parler toute les langues qu’elle entend, mais qui vit au jour en le jour, mi-voleuse / mi- arnaqueuse. Lorsqu’elle invoque, sans le vouloir (après tous la magie cela n’existe pas) un djinn, elle se retrouve projeté dans un monde de légendes vivantes et au seins d’intrigues qui la dépasse. Débute un voyage qui la mènera dans la cité Daevabad à la recherche de son passé et dans un nid d’intrigues liées à l’histoire de la plus grande cité des djinns….
Parallèlement le lecteur suit les déboires du plus jeunes fils du roi de la cité qui navigue entre intrigues de palais et son penchant à vouloir aider les plus démunis (les habitants mi-humains mi-djinns de la cité) qui le pousse, en croyant bien faire, à fréquenter des groupes aux intentions troubles…
The City of Brass est bien écrit et propose une Fantasy arabisante plaisante et pleines d’intrigues, j’attend avec curiosité et envie la suite.
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