Turning darkness into light

Se déroulant plusieurs décennies après la série des mémoires de Lady Trent (une suite de romans de Marie Brennan présentant les aventures d’une naturaliste étudiant les dragons dans un monde de low Fantasy faisant penser à notre monde de l’époque victorienne), Turning darkness into light suit une des deux petits filles de Lady Trent, Isabella Camherst, linguiste spécialisée dans le draconique ancien dans son travail de traduction d’un ensemble de tablettes anciennes présentant un mythe de création du monde de la civilisation disparue des draconiens.

Isabella est engagée pour réaliser cette traduction par un riche collectionneur, mais pas amateur d’histoire, Lord Gleinheigh. Il a trouvé les tablettes lors d’une expédition dans une zone peu réputée pour ses vestiges. Alors qu’Isabella débute sa traduction elle ne se doute pas qu’elle devra naviguer en terrain miné. En effet, une conférence sur l’avenir des derniers draconiens doit se tenir dans peu de temps et des tensions de plus en plus vive émergent entre amis des draconiens et groupuscule prônant l’humanité d’abord.

Le roman est formé d’extrait de journaux intimes, d’échange de lettres, d’extraits de presse et, au fur et à mesure que la traduction avance, des tablettes elles même. Le tout forme un roman très bien construit et haletant qui n’appelle pas à une suite.

A titre personnel j’ai beaucoup aimé Turning darkness into light que j’ai audio-lu. Je trouve que de l’ensemble des romans de Brennan se passant de le « monde de Lady Trent » c’est de loin le meilleur en terme d’ambiance et de rythme.