Second tome, après Rosewater qui se tenait bien tous seul, The Rosewater insurrection se déroule peut de temps après le premier tome. Il invite le lecteur, au travers du points de vue de plusieurs personnage (Jack-Jack le maire de la ville, Aminat une agente du gouvernement, Kaaro le personnage principal du premier tome, Anthony l’avatar de l’extraterrestre terré sous la ville, une femme remplacé par un alien,…) a vivre un moment crucial pour la ville et pour le devenir de l’humanité.
Rosewater donc, une cité au Nigéria qui s’est construit autour d’un dome biologique qui abrite une entité venu d’une autre planète afin de préparer la colonisation douce de la Terre. L’aire saturé de micro-organismes extraterrestres ont modifié l’humanité : des sensitifs (exterminés dans le tome précédent) peuvent lire les esprits, des morts marchent dans les rues, des gens sont physiquement transformés, etc…. Et dans cette ville chaotique plusieurs changements majeures sont sur le point d’advenir.
Ces changements sont le moteur de l’histoire et le fait qu’il arrive au même moment ne va pas arranger la situation de la ville. Concrètement : un alien voit sa conscience téléporté dans une humaine, premier pas de la future invasion, mais celle-ci perd la mémoire, une plante se développe et attaque l’organisme extraterrestre qui vit sous la ville et le maire de la ville déclare l’indépendance de sa cité, déclenchant de fait une guerre civile avec le gouvernement nigérien.
The Rosewater insurrection est un roman foisonnant que j’ai pris plaisir à lire et dont j’attend le prochain tome avec curiosité. Néanmoins il est peut-être un peu trop foisonnant par moment ajoutant des éléments disparates dans un mélange qui, bien que fonctionnant ensemble, est peut-être par fois un peu « too much ». Les circonvolutions de l’histoire, bien que plaisantes, accouchent également peut-être d’une souris.
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