The clockwork dynasty

Le nouveau roman de Daniel H. Wilson, The clockwork dynasty, est plus léger que ses précédents romans (dans le sens où il s’appuie moins sur des évolutions technologiques actuelles).
Un peu steampunk sur les bords, il suit deux histoires en parallèle, un chapitre sur deux : la première est l’histoire de June. Cette jeune universitaire est spécialisée dans les automates anciens, sujet qui la fascine depuis qu’elle a hérité de son grand-père, d’un mystérieux mécanisme qu’il a ramené de Leningrad et qui a été perdu par « un ange » sur le champ de bataille. La seconde est l’histoire de Peter, un automate conscient, éveillé en 1700 à la cour du tsar Pierre le grand, et qui tout en vivant pour l’honneurs et la justice, découvre ses vraies origines.
La rencontre de June et Peter va mettre en branle une course contre la montre pour sauver les derniers automates encore en vie aujourd’hui.
Roman d’aventure assez compact, The clockwork dynasty tient à la fois de l’histoire secrète (des automates construits avant l’humanité sont conscients et mènent une lutte secrète à travers les âges), de Transformers (franchement j’y ai pensé tous le long du roman, les similitudes sont frappantes, en moins pyrotechniques et de taille plus modeste) et de la course poursuite / en avant.
Une lecture agréable, très bien servit en version audio par deux voix de qualité, pour un roman d’aventure et d’évasion.

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