Second tome du diptyque débuté avec The Calculating Stars, The Fated Sky débute quelques années après la fin du premier tome.
Le programme spatiale a maintenant une base lunaire permanente et des équipes d’astronautes font régulièrement les trajets Terre-Lune. Une mission pour se rendre sur Mars est en préparation et malgré les menaces croissantes de coupe budgétaire (une partie de la population souhaite que les fonds soient dirigés vers la population de la Terre et non pas vers l’espace) le programme progresse à bon pas.
Elma York, « the lady astronaut » se trouve sélectionnée, tardivement, pour la mission martienne constitué de deux vaisseaux et leurs équipages. La plus grande partie du roman se concentre sur l’expérience de vie durant le vol entre la Terre et Mars; les conflits entre membre de l’équipage, les aléas du dangereux voyage dans l’espace et la nostalgie de la Terre.
Globalement The Fated Sky est un roman plus intimiste, en huis clos, que The Calculating Stars; je le trouve même supérieur au premier tome. Mais il se trouve en fait exactement dans la lancée du diptyque : une uchronie qui se concentre avant tous sur la vie d’une femme, Elma York, narrée à la première personne. L’histoire de l’humanité qui lutte pour conquière les étoiles et se sauver du changement climatique provoqué par la chute d’une météorite en 1952 n’est au final que le prétexte pour l’histoire d’une vie.
A noter que le futur de l’humanité en lui même est d’avantage visible dans la nouvelle The Lady Astronaut of Mars qui se déroule bien après les romans.
Oh, tu es bien plus positif que ce que d’autres ont pu en dire jusque là. J’imagine que tout dépend de ce que l’on y recherche. ^^
Je pense que en fait cela dépend de ce qu l’on attend des romans.
Vu le thème cela pourrait être une grande fresque de l’aventure humaine “vers les étoiles”, mais en fait c’est plutôt le “journal intime” d’une des protagonistes importantes de cette histoire.
Dans le premier cas c’est claire les romans sont ratés (et le deuxième plus que le premier), dans le second c’est très réussis (et le deuxième plus que le premier). 😉