House of Flame and Shadow de Sarah J. Maas

Troisième, et dernier, tome de la série Crescent City, House of Flame and Shadow conclut la trilogie dans un déluge de pouvoirs et de révélations.

Débutant juste après le tome précédent, House of Flame and Shadow suit les trajectoires des différents protagonistes : Bryce Quinlan se retrouve sur le monde d’où sont originaires les Fays et va découvrir la véritable histoire de son peuple, Hunt Athalar et deux de ses compagnons sont prisoniers des Asteris, d’autres encore sont à Crescent City et tente de survivre comme ils peuvent à la lutte des Asteris pour asservir encore d’avantage les peuples de Midgard.

Le roman va de révélation en révélation et augmente à chaque fois les pouvoirs de ses protagonistes jusqu’à ce qu’ils soient en mesure de se mesurer aux parasites millénaires que sont les Asteris.

Si on accepte les prémisses de ce type de roman d’Urban Fantasy croisé avec la Romantasy (la grande majorité des protagonistes ont des physiques de modèles, les hommes sont des mâles et les femmes de femelles, ils s’aiment d’un amour marqué par le destin, il y a quelques scènes de sexes crues, etc) et qu’on se laisse porté par l’histoire, la trilogie de Crescent City est dans là-haut du panier. Je la trouve relativement bien écrite, agréable à lire et avec la construction d’un monde très intéressant. Mon seul regret sur ce dernier tome, est l’absence d’un vrai développement du monde d’où sont originaires les Fays ; l’action s’y déroulant prenant place principalement dans des zones non peuplées.