
Ce recueil m’a beaucoup surpris. En effet, l’écriture poétique de Rey dépeint un univers dépaysant en abusant du nom farfelu que le lecteur ne peut comprendre. Si ce genre de chose a tendance à m’agacer chez la plupart des écrivains qui en usent et abusent, ici étrangement la sauce a bien pris pour moi. Rapidement j’ai pu me laisser porter par ces noms exotiques et par un trajet mouvementé de bus, les déboires d’esprits sylvains, le malheurs de gastronomes voulant manger du dragon, d’un sort de haute magie auto-répliquant (une maladie quoi !), etc.
Vous l’aurez compris, malgré ses bizarreries des nouvelles du Tibbar m’a conquis et arrivé à la fin de ma lecture, je n’ai qu’un mot : encore !