
Dernier tome de la trilogie des Cités divines, La cité des miracles (City of Miracles en VO, langue de ma lecture), se déroule une quinzaine d’année après le tome précédent et a pour protagoniste principal Sigrud qui « reprend du service » après l’assassinat Shara, ancienne première ministre de Saypur et héroïne du premier tome de la série.
Dans un monde qui a connus une révolution industriel à marche forcé, Sigrud se retrouve rapidement confronté à des individus qui semble avoir des pouvoirs quasi divin; et ce alors que officiellement tous les dieux sont morts et officieusement seul un dieu a survécu. Débute alors une traque pour obtenir des réponses, venger la mort de Shara et sauver l’avenir du monde.
La cité des miracles conclut de bien belle manière la trilogie en posant la question du devenir des enfants des divinités. Bennet pose également des questions sur les rouages du monde, les fondements de la réalité et la capacité de la modifier; sujet qui seront également, d’une autre manière, au cœur de la trilogie suivant qu’il écrira en suite.



Second tome de la trilogie, après
Premier tome d’une trilogie, Les Maîtres enlumineurs de Robert Jackson Bennett sort chez AMI (si le COVID ne retarde pas à nouveau sa parution) en français courant mars, mais j’ai déjà pu l’audio-lire en VO (sous le titre Foundryside).