The Telling

The Telling (Le Dit d’Aka en français) se déroule dans le cycle de l’Ekumen, un cycle de SF se déroulant sur de nombreux siècle où les humains forment une communauté galactique assez lâche et où le groupement de l’Ekumen envoi des représentants sur de nombreuses planète. Les romans du cycle ne font que partager un même univers et se lisent de manière totalement indépendant.
Dans The Telling, le lecteur suit Sutty une anthropologue terrienne de l’Ekumen en poste sur la planète Aka. Ce monde vit depuis deux générations une modernisation à marche forcée avec un gouvernement centrale qui fait table rase du passé en détruisant livres et artefacts, en plaçant les tenants de l’ancienne culture en camp idéologique et en regardant uniquement vers l’avenir. Il n’y a qu’une poignée de représentant de l’Ekumen et ceux-ci sont cantonnés, et surveillés, dans une seule ville.
C’est donc avec surprise que Sutty apprend que l’ambassadeur de l’Ekumen a obtenu l’autorisation de l’envoyer en mission d’observation sans restrictions dans une région campagnarde. Sutty va y découvrir les restes d’une culture orale et écrite riche qu’une poignée de sages tentent de sauver.
The Telling est un roman riche qui propose, à travers le prisme de la science-fiction, une critique de la révolution culturelle chinoise. Il propose également une réflexion sur les influences culturels, la religion et les fanatismes (Sutty a vécu une période de l’histoire terrienne ou une nation chrétienne a su imposer ses valeurs à une partie importante de la planète).  C’est une vrai réussite qui se double d’un vrai plaisir de lecture !
Je vous laisse avec une petite citation : 

« « Believe is the wound that knowledge heals« 

The Shambling Guide to New York City

J’avais envie de lire/écouter un petit roman simple et divertissant d’Urban Fantasy; ayant lu plusieurs avis positif de The Shambling Guide to New York City je me suis donc lancé dans l’écoute du premier tome d’une futur série.
L’intrigue de The Shambling Guide to New York City est assez simple : a New York, de nos jours, Zoe, éditrice de guide de voyage, cherche un nouveau job après avoir perdu le sien suite à une aventure avec son ancien patron qui était marié (mais cela il ne lui avait pas dis). Ayant des difficultés à trouver un job, elle fait le forcing pour être engagé par un nouvel éditeur malgré que ce dernier lui dise « qu’elle n’a pas le profil recherché ». Sans le savoir, elle vient d’être engagé pour édité un guide du New York à l’attention des Coteries, les habitants non-humains de notre monde.
Le roman suit ensuite à une progression classique : découverte du « monde caché », adaptation, prise de conscience d’un danger qui menace New York et qui est lié à Zoé, confrontation de la menace et « happy ending ». L’histoire, sympathique et légère, se laisse bien lire/écouté.
Que dire de plus, l’intrigue est sympathique, les créatures fantastiques classiques sans originalités particulières, il y a [sic] le traditionnel incube qui séduit l’héroïne avec une petite scène « hot » mais pas trop. C’est du vite lu et vite oublié.

All Rolled Up

All Rolled Up (ARU pour les intimes) est à la fois le nom d’une petite boite anglaise et le nom de leur produit : un sac de dés, mais pas que, pour roliste ou wargamer (mais qui peut sans aucun doute être utilisé pour d’autres activité). Le principe : un sac qui se roule sur lui même avec une poche fermée avec velcro pour y mettre des dés, une mini poche pouvant recevoire un carnet, des cartes, des fiches, etc. et quelques poches pour les crayons et stylos.
Il en existe plusieurs modèles qui différent entre eux par les motifs du tissus utilisés. Un petit modèle est en développement (le TARU pour Tiny ARU) et commence à être disponible sur certaines conventions au Royaumes Unis, avant d’être vendu en ligne. Pour les amteurs d’exclusivité, il est même possible de demander la conféction d’un ARU personalisé.
De manière général, le ARU est super sac de dés qui permet de transporter beaucoup de choses de manière compacte. La qualité du produit est excellente et la fermeture en velcro du sac à dés très solide; les risques de perte de dés sont quasi nuls. Si je devais emettre quand même une critique, elle serait sur la taille. Le ARU est gros et convient bien pour le MJ qui se déplace avec du matériel ou le joueur qui ne veut jamais être pris au dépourvu. Le TARU est petit, très (trop ?) petit : il conviendra plutôt à un joueur qui prend à ses parties un set dés et de quoi prendre des notes. La pochette central du TARU est par contre clairement trop petite et, de fait, peu utile (j’y met une gomme, là où j’aurais apprécié pouvoir y ranger une jeu de carte, mais la pochette n’est pas assez large). Il manque peut-être un MARU (pour Medium) à la ligne pour être complète.
Mais que ces reserves ne vous empêche pas d’acquierir un ARU, c’est un produit de qualité qui ravira tous roliste un tant soit peu fétichiste de ses dés (et quel roliste ne l’est pas 😉 ).
Voila mes deux miens à moi :
 

 En haut mon ARU, en bas mon TARU

Les même ouvert

Le TARU et son contenu

Le ARU et son contenu (il reste de la place dans la poche à dés).

Something More Than Night

Les anges sont une réalité. Mais loin d’être des créatures d’amours, se sont avant tous des créatures d’abstraction qui vivent dans la zone ou tout est possible. Lié par des règles que « la voix de Dieu », Metatron, fait respecté scrupuleusement, ils garantissent également la stabilité de ce que nous nommons Réalité.
Lorsque l’ange Gabriel est assassiné, chose normalement impossible car les anges sont immortelles et invisibles, l’un d’entre eux qui connait bien la Terre et ses habitants, Bayliss transforme une humaine en ange afin de garantir la stabilité du réel. Débute alors une histoire façon roman noir où le narrateur alterne le point de vue de Bayliss et du nouvelle ange qui doivent enquêter pour comprendre ce qui se trame.
Car, non content d’être secoué par un assassinat impossible, le Paradis recherche aussi les trompettes de Jéricho que gardaient Gabriel et qui ont la capacité de modifier jusqu’aux anges. Comprendre ce qui se passe au Paradis, le rôle joué par le mouvement des pénitents, des humains qui se modifie afin de ressembler à des anges, et la raison d’être d’un commerce d’indulgences dirigé par un prête américain sont les éléments importants qui permettra aux deux protagonistes de changer la face de la Réalité. Une enquête qui cache des complots et où les apparences sont trompeuses.
Histoire aux retournements interssants, Something More Than Night bénéfice d’un début intéressant et mystérieux, d’un milieux parfois un peu verbeux et long, et d’une fin très intéressante. L’ayant lu en roman audio, ma « lecture » a été facilité par le fait que je n’avais qu’à suivre la voix du lecteur. Je suis content de l’avoir lu, mais je me pose la question de savoir si l’envie ne m’aurait pas pris à plusieurs reprises de le laisser tomber si je l’avais lu de manière « traditionnelle ».

Vampires à contre-emploi

Une anthologie de nouvelles de vampires, utilisés, comme son nom l’indique, « à contre-emploie » (comprenez dans des ambiances SF/Anticipation), Vampires à contre-emploi avait tous pour attirer mon attention. Comme j’ai eu la chance de le gagner comme lot pour ma participation au challenge JLNN (merci à Lune et aux Éditions Mnémos), j’ai donc pu me jeter rapidement dessus.
L’anthologie est de bonne facture et quelques textes sont même excellents.
« Pire que le vent » de Philippe Curval narre une invasion extraterrestre dans un futur où pas mal de données sensibles, notamment monétaire, sont stockées dans des puces implantées directement dans le cerveau. L’invasion débute de manière peu subtile (des tornades soudaines font disparaitre des individus qui sont retrouvés vidés de tous leurs fluides) avant de se raffiner. Une nouvelle sympathique, mais peut-être un peu faible pour ouvrir le recueil.
« Quelques moments dans la vie d’un homme d’affaires » de Christian Léourier suit l’ensemble de la carrière d’un jeune cadre ambitieux d’une entreprise de cosmétiques qui se voit chargé de mettre en place une cure de jouvence exclusive, et de suivre de près sa matière première : un des derniers vampires : un être exigeant et complexe.
« Trou noir contre Vampire » d’Olivier Paquet s’intéresse à un vampire numérique qui vide de sa substance les comptes sociaux de ses victimes. Située un pas en avant dans le futur, là où la vie se mesure en nombre d’amis, la nouvelle aurait pu être bonne si des détails pratiques ne m’en avait gâché la lecture (tiré la prise de l’ordinateur pour arrêter une attaque sur son compte facebook !).
« Femme fatale » de Marianne Leconte est la nouvelle qui m’a le moins convaincu du recueil. Il s’agit d’une histoire de vampire et de moto. Une chevauchée qui se veut sauvage mais qui tombe à plat.
« Les ravageurs » de Christian Vilà est une histoire de parasite, de transformation en vampire et de comment un jeune écrivain un peu désœuvré et sa veuve voisine d’une cinquantaine d’années devinrent des vampires. Une histoire tout simple qui est fort sympathique.
« Les miroirs de l’éternité » de Simon Bréan suit une équipe de jeunes vampires, scientifiques, qui, sous le patronage d’un ancien, étudie le vampirisme de façon moderne. Jusqu’au jour où les vampires du monde sont victimes d’attaques meurtrière dont la source n’est pas de notre planète. Une excellente nouvelle qui mélange vie extraterrestre et universalité du vampirisme dans l’univers.
« Icare Hermétique » d’Ugo Bellagamba une nouvelle purement SF sur des exilés, et travailleurs forcés, sur la planète Venus qui ont été modifié afin d’y survivre; ils sont devenus des vampires et ont décidé de partir en laissant un message.
« S’il te plaît, désenzyme-moi un inMouton ! » de Timothée Rey est la transcription des émissions d’une IA de communication d’un vaisseau interstellaire. Narrant comme les deux autres IA du vaisseau se font guerre au sujet d’une cargaison de vampires qui se dirige vers un monde colonisé. La particularité de la retransmission : elle est entièrement en alexandrin car l’IA de communication du vaisseau ne communique que comme cela. Une nouvelle bien barrée qui est, pour moi, la meilleure du recueil.
« La Cure » d’Olivier Gechter donne une réponse vampirique à l’exploration spatiale. En effet comme survivre aux radiations de l’espace intersidérale ? Et bien en prenant à bord un vampire, munis de son collier d’explosif, afin de soigner, grâce à son sang, l’équipage du vaisseau. Mais que faire de lui une fois la colonie installée sur sa nouvelle planète ? Et est-ce vraiment sur ?
« Le Vampire et Elle » de Thomas Geha dans une terre décharnée, post apocalyptique (dans le sens biblique du terme) une femme et un vampire sont les seuls survivants. Une nouvelle fantastique qui ne m’a pas du tous convaincu.
« Beaucoup y ont cru » de Raphael Granier de Cassagnac est une sympathique nouvelle qui surf sur la vague « bit-lit » en proposant un vampire, mais aussi une sorcière et un garou, ado qui sort pour fêter Halloween. Mais entre le vampire et l’adolescent quelle est la vérité ?
Au final, Vampires à contre-emploi est un bon recueil pour les amateurs de vampire et de SF dont les nouvelles de Léourier, Bréan, Bellagamba, Rey et Granier de Cassagnac sont un cran au dessus du reste, et celles de Geha et Leconte un, bon, cran au dessous.

A Natural History of Dragons

A Natural History of Dragons: A Memoir by Lady Trent de Marie Brennan est la première partie des mémoires, imaginaires, de Lady Trent, une femme de qualité et de bien qui a consacré sa vie à l’étude des dragons.

Se déroulant dans un monde imaginaire qui rappel très fortement notre monde du dix-huitième et dix-neuvième siècle, avec l’héroïne vivant au Royaume-Uni et originaire d’une famille de la petite bourgeoisie, A Natural History of Dragons est consacré à l’enfance, l’adolescence et l’entrée dans la vie adulte de Isabella. Fascinée par les dragons depuis son enfance, à une époque où les connaissances scientifiques sur ces animaux sont peu développées et où les femmes sont fortement contraintes par la sociétés, Isabella trouve un maris relativement ouvert à ses « lubies » et qui accepte de partir avec elle dans une expédition scientifique dans les montagnes de ce qui serait, dans notre monde, la Russie, afin d’étudier les dragons des roches.

Cette expédition, dans la région de Vystrana, va lui permettre de démontrer ses aptitudes à l’étude des dragons (biologie et éthologie) et lui faire vivre de nombreuses péripéties. Les dragons, en effet, attaquent de plus en plus fréquemment les hommes, ce qu’ils ne faisaient pas avant. Pour ajouter aux difficultés, le seigneur de village qui les accueille est étrangement absent et la population légèrement hostile à leur présence. Ajoutez à cela les manœuvres du représentant du Tsar et des contrebandiers et vous obtenez tous les ingrédients d’un roman d’aventures et d’intrigues.

A Natural History of Dragons: A Memoir by Lady Trent est un roman passionnant qui m’a beaucoup plus. Le fait qu’il s’agit d’une autobiographie va particulièrement bien avec une version audio (la narratrice parle à la première personne) et le côté « monde victorien + dragons » m’a conquis. Le deuxième volume doit sortir cette année : je l’attend avec impatience et espoir que la version audio ne tardera pas derrière.

Ekaterina and the Firebird

Ré-écriture du vieux conte russe de l’oiseau de feu, « Ekaterina and the Firebird » propose une lecture trans-genre du conte :

La jeune Ekaterina, septième enfant, la seule fille, d’un producteur de liqueur (dans un contexte médiéval/renaissance) voit, la nuit de ses 14 ans, par sa fenêtre l’oiseau de feu. Elle se lance à sa poursuite car celui qui se tiendra dans son ombre recevra plein de « bonnes choses ».

Suite à cette poursuite, Ekaterina mettra en branle des événements qui révéleront une malédiction, un secret et un gros questionnement sur son identité sexuel (biologique et social).

Une nouvelle qui peut se lire gratuitement sur le site de l’éditeur TOR, et qui rentre dans le challenge Winter Mythic.

http://rsfblog.canalblog.com/archives/2013/11/27/28427018.html

Mythologica n°1

Premier numéro d’une nouvelle revue consacré à aux productions de l’Imaginaire (littérature, mais aussi film, série, BD, jeux de rôle, etc.). Ce numéro à pour thème « Jeux de rôle et Fantasy ».
Ainsi, à côté des divers critiques des dernières sorties concernant l’Imaginaire, le lecteur y trouvera un gros dossier sur le jeux de rôle et fantasy. Outre un long article sur les adaptations littéraires en jeux de rôle (francophones) et un autre sur le sujet lui même (les deux intéressants mais pour quelqu’un qui connait un peu le jeux de rôle il y a peu de d’informations nouvelles), le mook présente plusieurs BD (pas trop ma tasse de thé…), plusieurs début de romans (c’est intéressant, mais j’ai toujours trouvé cela un peu frustrant) et quelques nouvelles inédits et des interviews d’auteurs (le plus intéressant) :
« La Fin de l’Histoire » de Lionel Davoust se situant dans l’univers de Evanégyre. Une histoire de colonisation et d’un peuple vivant le monde comme un gigantesque narration qui, pour eux, arrive à son terme. Un texte très sympathique et intéressant, fortement inspirer par l’Amérique Latine et qui me donne envie de lire d’autres textes dans cet univers.
Nathalie Dau propose la première partie d’un feuilleton intitulé Chronique des Terres Mixtes. Le texte narre la naissance d’un elf qui sera destiné à la magie. Je garde mon avis après avoir lu quelques autres épisodes du feuilleton. Pour l’instant, je trouve cela convenu et insipide…
« Hell’s Hope » Delphine Imbert est une nouvelle très intéressante se déroulant dans l’univers du jeu de rôle Hellywood. Les codes du noir, une ville où depuis la nuit des cendres des étranges créatures, les cornus, semblent être sortis des enfers et où des puissances mystérieuses et inhumaines tirent les ficelles dans l’ombre. C’est à celle-ci que Hope a du faire face, devenant sa compagne d’une nuit, mais, contrairement à d’autres, survivant à la nuit. Depuis tous les hommes qui l’approche meurent. Nouvelle intéressante, j’aurais aimé un texte plus long (ou plus de textes) afin d’explorer d’avantage les spécificités de cet univers qui ne sont ici qu’effleurées et pas expliquées.
« Sur quoi pleurent les limaces » de Sviatoslav Loguinov est le petit bijou de ce numéro (et un bijoux tous court). Une sorcière des marais attire une jeune femme afin d’en faire sa semblable, avant de la relâcher car elle est amoureuse d’un jeune du village. Une histoire très juste qui me fait penser aux textes de Léa Silhol dans le recueil des Contes de la Tisseuse. Un texte rentrant dans le cadre du challenge Winter Mythic et qui m’a donné envie de lire d’autres textes de Sviatoslav Loguinov, un auteur russe évidement non traduit (ni en français, ni en anglais).
 « Sur quoi pleurent les limaces » rentre dans le cadre du challenge Winter Mythic.
http://rsfblog.canalblog.com/archives/2013/11/27/28427018.html

The Republic of Thieves

Troisième volume de la série des Gentleman Bastard, et longuement attendu, The Republic of Thieves débute peu de temps après la fin de second volume.

Locke, voleur et escroc de haut vole, se meurt sous les effets du poison qu’il a reçut. Son ami Jean, tente tous pour le sauver mais aucuns des médecins de la ville dans laquelle il se trouve n’est capable de produire un antidote. C’est le moment que choisis une mage pour leur proposer un marcher : elle sauve la vie de Locke et en échange lui et Jean se rendent à Karthain (la cité-état qui héberge la « confrérie » des mages et soient les agents de sa faction lors de l’élection des représentant du conseil de la cité. En effet, tous les cinq ans, les élections sont l’occasion pour les deux factions de mages, qui manipulent de toute façon le conseil de la ville,  de s’affronter via des agents extérieurs. La faction gagnante est celle dont les agents ont permis aux anciens aristocrates ou aux bourgeois de gagner les élections.

Locke et Jean devront faire gagner les anciens aristocrates. alors que Sabetha, l’amour perdu de Locke, tentera de faire gagner la faction adverse. Sans réelles autres alternatives Locke et Jean acceptent. S’engage alors entre les anciens alliés une lutte de haut vole pour gagner les élections. Tous cela bien sur alors que l’amour de Locke pour Sabetha est encore bien présent.

En parallèle, le roman intercale des flashbacks sur la jeunesse de Locke qui mettent en lumière son histoire avec Sabetha, un plan pour aider un directeur de théâtre à mettre sur pied la célèbre pièce « La République des voleurs »…

The Republic of Thieves s’est fait attendre, mais l’attente n’a pas été vaine. Il est du même tonneau que les deux premiers tomes et réserve son lot de surprises et de retournement (les origines de Locke sont ainsi révélée). Personnellement j’ai adoré et j’attends avec impatience la suite de cette série prévue pour compter sept tome.

Dead Pig Collector

Dead Pig Collector est une nouvelle d’une trentaine de page de Warren Ellis qui suit une mission de Mr. Sun, tueur à gage de son état, et qui est engagé pour éliminer une jeune femme en Californie.
A son arrivée à l’appartement de sa cible, Mr. Sun constate que son client n’a pas attendu son arrivée et à rater son coup, éliminé par la cible. S’en suit une discussion entre la cible et Mr. Sun où ce dernier explique (en mettant la chose en pratique) comment se débarrasser d’un cadavre.
Nouvelle percutante, Dead Pig Collector est une rapide lecture très agréable, une petite perle de cynisme et d’histoire noir.
Dernière lecture dans le cadre du challenge nouvelles et novellas (qui se termine ce jour).