Suite, et fin, des Sept Lances d’Aizu, les sept guerrières d’Hori ne se déroule plus à Edo, la capitale du Shogunat, mais directement dans le fief du daimyo détesté en Aizu.
Là les sept survivantes du clan Hori, un grand maitre zen et un bretteur d’exception devront déployer des trésors d’ingéniosité pour arriver à bout de leur ennemis. Ce dernier, non content d’être en son fief, est aidé par un puissant immortel qui ne peut être tuer que dans des conditions bien particulières.
L’histoire prend de nombreux détours et de retournements de situations en retournements de situation finis par se dénouer. Combats, sorcelleries et politique occupent les premiers plan d’une histoire sympathique mais moins direct que dans le premier tome. J’aurais apprécier une résolution moins tortueuse et plus direct pour ce roman qui m’a quand même fait passer un bien bon moment.