Les Sept Guerrières d’Hori

Suite, et fin, des Sept Lances d’Aizu, les sept guerrières d’Hori ne se déroule plus à Edo, la capitale du Shogunat, mais directement dans le fief du daimyo détesté en Aizu.

Là les sept survivantes du clan Hori, un grand maitre zen et un bretteur d’exception devront déployer des trésors d’ingéniosité pour arriver à bout de leur ennemis. Ce dernier, non content d’être en son fief, est aidé par un puissant immortel qui ne peut être tuer que dans des conditions bien particulières.

L’histoire prend de nombreux détours et de retournements de situations en retournements de situation finis par se dénouer. Combats, sorcelleries et politique occupent les premiers plan d’une histoire sympathique mais moins direct que dans le premier tome. J’aurais apprécier une résolution moins tortueuse et plus direct pour ce roman qui m’a quand même fait passer un bien bon moment.

Les Sept Lances d’Aizu

Les Sept Lances d’Aizu, sous-titré Les manuscrits ninja, est le premier tome d’une histoire en deux se déroulant dans le Japon du XVIIe siècle. A ce que j’ai pu glaner sur Internet Yamada Fûtarô, qui a écrit ce roman dans les années soixante, est un précurseur du genre ninja.

Dans tous le cas son roman utilise tous les codes des films de ninja et des films de sabre asiatiques. La famille Hori est exterminée par les sept lance d’Aizu au service du Seigneur du fief du même nom. Seules sept femmes du clan survivent au massacre. Mise sous la protection de la sœur du Shogun, elles vont être entrainée par un maitre du sabre afin d’accomplir elle même leur vengeance.

Le roman est plaisant à lire et les aventures des sept femmes et de leur maitre rocambolesques au possible. Si vous aimez les ambiances films de sabre, ce roman est fait pour vous. Personnellement j’attends l’arrivée de mon paquet contenant la suite avec impatience.