Abarat Absolut Midnight

Troisième tome de la série Abarat (après Abarat Days of magic, Nights of war), Abarat Absolut Midnight propose une conclusion à de nombreuses intriguées débutées dans les deux premiers tomes, et ce bien que cinq ouvrages soient prévus dans cette série.
Candy Quakenbush, l’adolescente de notre monde propulsée à Abarat (un monde où chaque heure de la journée est une île et dont les habitants sont tous plus bigarrés les uns que les autres), continue sont voyages en Abarat.
Elle devient un élément central de la guerre qui se prépare sur l’île de Minuit. Le roman déroule plusieurs sous-histoires en plus de l’histoire principale (la conquête d’Abarat par Mater Motley, la Reine de Minuit) : le père de Candy qui devient un sorcier voulant purifier l’univers des monstruosités vivant en Abarat, la relation entre Candy et son « hôte » involontaire, les relations compliquées de la famille Carion et le devenir de Comecso City (un Las Vegas « fantastiques »), le danger représenté par des êtres venus « d’au delà les étoiles »..
Difficile de résumer ce roman foisonnant dont l’histoire prend parfois des trous et des détours surprenant. Si j’avais trouvé que le précédant tome partait dans beaucoup trop de direction, Abarat Absolut Midnight, en proposant une fin à certaines intrigues, est, à ce niveau, plus facilement lisible. La qualité de la lecture (car je l’ai écouté sous forme de roman audio) aide également au plaisir que j’ai eu à suivre ce livre. Sceptique à la fin du second, je suis curieux de découvrir la suite.

Abarat, days of magic, nights of war

Second tome, sur deux aujourd’hui, d’une série de Clive Barker, Abarat, days of magic, nights of war reprend là où le premier tome, que j’ai lu il y a déjà quelques années, s’était arrêté.

On suit ainsi la seconde partie des aventures de Candy Quakenbush, une jeune fille qui est passée de la petite ville de Chikentown, Minesota, au monde merveilleux d’Abarat, un archipel où chaque île est une heure de la journée (« bloquée sur cette heure là) et dont les habitants sont tous plus extraordinaires les uns des autres. Et mal grès l’étrangeté de l’endroit, Candy s’y sent étrangement bien et déploie des aptitudes qu’elle s’ignorait posséder…

Dans ce second tome, Candy est confrontée au mystère de ses origines et au bruit de la guerre que le seigneur de minuit, Christopher Carrion, s’apprête à mener. Alors qu’elle s’approche de la vérité, le destin d’Abarat est sur le point de basculer. Semblant avoir un rôle important à jouer, Candy pourra-t-elle sauver le monde qu’elle aime temps ?

Abarat est un roman étrange, bien écrit, il ressemble à un Alice aux pays des merveilles ou au magicien d’oz tend l’univers où Candy se retrouve est étrange et fantastique. Parois même un peu trop, une des deux choses qui m’ont déranger dans ce roman, au demeurant fort plaisant, c’est le carnaval continu d’étrangetés qui se succèdent à un rythme effréné; cela participe sans doute du sentiment d’étrangeté que dégage le monde d’Abarat, mais je trouve que c’est parfois un peu « too much. » Le second reproche concerne le récit qui prend par fois des détours un peu surprenant qui l’allonge peut-être un peu trop.

Mais si vous cherchez une lecteur de fantasy décalé et étrange, ce roman est définitivement pour vous (essayer quand même de lire avant le premier tome, sinon je crains que vous ne compreniez rien du tous au récit).