La peste et la vigne

Second tome du cycle de Syffe (après L’enfant de poussière), La peste et la vigne continue l’histoire là où le premier tome l’a laissé.

On retrouve donc Syffe dans la situation qui était la sienne à la fin de L’enfant de poussière; celle-ci va durer plusieurs années et le roman à le bon goût de la traiter de manière assez rapide avant de lancer à nouveau le personnage sur les chemins.

Suit alors un roman en plusieurs temps qui fait passer Syffe des montages aux forêts verdoyantes, d’un peuple qui se cache à la guerre contre un autre peuple qui se cache.

Difficile d’en dire plus sans dévoiler toutes l’intrigues. Je me contenterai de dire que le roman lève timidement le voile sur certains mystères, sans apporter de réponses complètes et définitives. Le roman est toujours aussi bien écrit, le personnage principale a toujours la fâcheuse tendance à se laisser emporter par son destin sans réagir et le tout semble parfois un prétexte pour présenter les différentes régions d’un vaste monde.

Qu’importe, l’écriture est belle, le rythme lent convient bien à l’histoire, Le cycle de Syffe est bien partit pour devenir un cycle important et de qualité de la Fantasy francophone.

6 réponses sur “La peste et la vigne”

  1. Je me suis un peu arrêtée en cours, trop lent pour moi même si magnifiquement écrit. J’ai sûrement choisi le mauvais moment pour le commencer !

    1. C’est vrai que c’est plus une balade qu’un roman trépidant où il se passe plein de chose à chaque page.
      Moi j’aime bien mais je comprend que cela ne plaise pas à tous le monde.

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